J’ai entendu dire que Techno Compétences organise une tournée d’informatiens propriétaires de pme québécoises dans les écoles pour expliquer les bons côtés de la carrière en informatique. C’est une excellente idée. En fait, toute démarche pour raviver l’image de l’informatique auprès des jeunes et ainsi atténuer la pénurie de main d’oeuvre est une bonne chose.
Academos représente également une excellente piste à mon avis. Il s’agit d’une initiative Web qui met en relation de façcon sécurisée des étudiants, principalement du secondaire, avec des professionnels dans différents domaines. Les jeunes peuvent ainsi poser des questions et trouver une inspiration qui devrait contribuer à augmenter le pourcentage de diplômés. Prévenir le décrochage et développer des expertises s’inscrivent définitivement en priorité si le Québec veut maintenir un statut économique important dans l’avenir.
Voici la mission du projet :
« Depuis 1999, Academos facilite le choix de carrière et la persévérance scolaire des Québécois âgés de 14 à 30 ans au moyen du cybermentorat. Le site www.academos.qc.ca offre un endroit sécuritaire où les jeunes ont la chance de vivre un échange privilégiée avec des travailleurs des secteurs d’emploi qui les intéressent. Ces cybermentors bénévoles les guident et les informent sur les réalités du monde du travail. Les échanges ont lieu exclusivement sur le site Web d’Academos, au moyen d’une messagerie électronique interne au site. »
Si vous êtes informaticiens, Academos représente une belle opportunité de bénévolat qui ne demande pas beaucoup de temps et fait sur le Web, donc de façcon très efficace. Selon une personne d’Academos qui a eu la gentillesse de répondre à ma question, il y a en ce moment 33 informaticiens qui font du mentorat pour Academos. En plus, il s’agit d’un projet innovateur pour le québec et qui sûrement être exporté partout dans le monde.
Je me suis renseigner à l’univeristé laval l’automne dernier au sujet d’Academos et maintenant le site demande un code d’accès afin de s’inscrire lequel l’institution d’enseignement doit payé pour obtenir et mon univeristé ne semble pas intéressé à payer pour avoir accès à se service.
Bref, si Laval ne semble pas intéressé je doute que bien des écoles au Québec le soit et c’est trop dommage. Il reste les programmes de mentorats dans les établissements eux-même, par exemple laval en a un, mais c’est de courte durée si je ne m’abuse, ce n’est pas un suivi à long terme et ça s’adresse surtout aux finissants en priorité.